A qui s’adressent ces approches?

A toute personne désireuse de s’engager dans un travail original, menant à la découverte de soi, de notre propre façon de nous conduire, d’entrer en relation, et notre mode d’être au monde. Cette découverte peut ensuite déboucher sur la mise au jour de nos scénarios répétitifs et invalidants, de nos difficultés psychologiques, de nos échecs et conflits dans lesquels s’épuise notre énergie psychique. Scénarios actuels dont, accompagné par le psychanalyste, nous allons retrouver les racines anciennes, pour ne plus les répéter et trouver une plus grande liberté d’être. Si nous risquons une métaphore, le travail de l’analyse serait l’équivalent d’un de réaménagement de tous les niveaux d’une maison (notre histoire, notre vie psychique, etc..) pour redonner à tout ce qui s’y trouve une plus grande harmonie.

En quoi cela consiste ?

A partir de récits de rêves, d’ associations libres le sujet, allongé ou en face à face, peut aborder n’importe quel sujet (heureux ou malheureux) et trouver à partir d’un matériel actuel qui se présente sous forme de rébus, le sens caché. Ce dispositif permet de dire, de s’entendre dire, et d’entendre les interprétations du psy, d’une façon et avec un éclairage tout à fait nouveaux.

A qui s’adresse le TRH ?

A toute personne confrontée aux limites d’une approche purement verbale, et dont la source du malaise semble lointaine, trop lointaine (en lien avec nos vécus fœtaux et de bébé, en lien avec une histoire transgénérationelle). A toute personne ayant perdu son élan vital et le sens de sa vie. Le TRH permet mobiliser tous les niveaux de son être, des plus corporels aux plus spirituels. Et ce, afin de laisser émerger les racines des racines de notre mal-être. Cette approche s’adresse aussi à toute personne souhaitant explorer grâce à la modification de l’état de conscience, les zones les plus archaïques et les plus élevées de son être.

En quoi cela consiste ?

Le TRH se pratique en groupe. Il reprend en partie les pratiques de transe que l’on trouve dans toutes les sociétés traditionnelles. Il est fondé sur l’entrée en état de conscience modifié sous l’effet de la respiration, de musiques spécifiques, du contexte groupal, et d’un éventuel travail corporel, ceci en toute sécurité et accompagné par deux thérapeutes.

A qui s’adresse cette approche du travail de deuil?

A deux catégories de personnes :

• celles n’arrivant pas à surmonter la perte d’un être cher plusieurs mois ou plus, après son décès.
• Celles qui n’arrivent pas à envisager la moindre perte que ce soit celle d’un travail, d’un environnement, d’une famille. Ce travail s’adresse également aux personnes traversant une crise existentielle avec des vécus de perte qui semblent insurmontables.

En quoi cela consiste ?

C’est un accompagnement intensif, en individuel, sur une journée, entièrement consacré à l’évocation de tous les aspects de la relation du consultant avec la personne disparue dont il continue de pleurer la perte : entretiens autour de photos, d’objets ayant appartenu au défunt, alternant avec des périodes de relaxation, suivis d’une expérience singulière dans une cabine, face à un miroir ( le psychomanteum). Ces conditions de sur-stimulation ( entretiens) puis de « déprivation sensorielle » entraînent, à la fin de la journée, un un changement majeur dans la réalisation de ce travail de deuil et de son dépassement.

A qui s’adressent ces journées?

A toute personne ayant des difficultés dans sa relation à l’argent: peur de le dépenser, peur de le gagner, peur de le perdre. Lorsque tout ce qui touche à l’argent est source de malaise, de gêne, de conflit et d’angoisse, cette approche est indiquée pour découvrir, autour d’un sujet hautement tabou, toute une dynamique inconsciente ( personnelle, familiale, transgénérationelle) à l’origine de ces conduites parfois inadaptées.

En quoi cela consiste ?

Cela de passe en petits groupes ( sur 4 journées espacées d’un mois). Chaque participant est invité à parler de sa relation et de ses ressentis à l’égard de l’argent. Puis à partir de ces ressentis, émergent des représentations, des images, des souvenirs, des sentiments divers, en lien avec des situations traumatiques ( pauvreté, richesse, honte, faillite, dépôt de bilans, etc.. vécues par les parents ou les ancêtres.

A qui s’adressent ces GET ?

A toute personne désireuse de développer sa créativité, d’écouter et de s’entraîner à son intuition et à ce qui la sous-tend, à savoir la télépathes. Si l’on veut être ou devenir plus intuitif, mieux faire la part de ce qui s’origine de soi ou de l’autre, participer à ces groupes permet de retrouver à une capacité que nous avions étant enfant, et un réapprentissage de ce qu’on appelle le sixième sens.

En quoi cela consiste ?

L’ICLP vous propose deux possibilités : un entrainement sur trois années à raison de deux soirées mensuelles et trois trimestres par an, dans le cadre de petits groupes. Au cours de ces soirées vous serez progressivement initiés aux techniques visant à désinhiber cette faculté que nous possédons tous mais que les contraintes sociales et éducatives ont malheureusement contribué à inhiber.Une fois par trimestre un week-end d’initiation et de sensibilisation à la télépathie est organisé à l’ICLP.

A qui s’adresse cette écoute ?

A toute personne fort angoissée, ou perplexe à la suite de manifestations paranormales, déclenchées par ou lors d’une « expérience exceptionnelle» : perceptions de voix, flashs ou rêves télépathiques ou prémonitoires, visions et hallucinations, Poltergeist, expérience aux frontières de la mort (EMI ou Near Death Experience), sortie du corps ( OBE), etc..

En quoi cela consiste ?

Soit de conseil donné par téléphone. Soit, si le consultant le souhaite, dans le cadre d’entretiens réguliers pour explorer les conditions de survenue de ces phénomènes les éventuelles implications personnelles du consultant et surtout le sens que ces manifestations paranormales peuvent prendre par rapport à lui.

A qui s’adresse la PNL?

A toute personne qui à un moment donné de sa vie, se trouve dans une situation qui déborde ses capacités à y faire face. Qui se trouve donc dans un état de stress. Etre en état de stress, nous coupe de nos ressources, et nous empêche de penser, à fortiori d’affronter des situations d’examen.

En quoi cela consiste ?

C’est par l’approche de la PNL (programmation neuro linguistique ), du travail sur les émotions liées au problème actuel, source d’un stress, faisant écho à une autre situation ayant été vécue sur un mode traumatique. Le vécu traumatique émerge, alors qu’aucune raison logique ne saurait le justifier. L’aide apportée en combinant relaxation, travail sur les différentes scènes et les affects qui leur sont liées, permet de désactiver les vécus invalidants.